11 octobre 2000
« Je suis peu enclin en général à signer des pétitions. Néanmoins celle-ci me parait importante. Au-delà des relations internationales la question écologique au sens le plus radical du terme – l’habitabilité de la biosphère – sera posée aux habitants de la planète. Il faut corriger le plus vite possible notre mode de vie, trop prédateur et d’abord préserver les dernières zones encore vierges : déserts, haute montagne, chaines de volcan, pôles, zones humides, forêts primaires et aussi, bien sûr, les océans profonds.
La protection doit être stricte, surveillée, et la reconversion des pêcheurs concernés assurée de façon humaine et économiquement viable, comme il faudra le faire pour toutes les activités humaines à écologiser. »